GSCM acquiert CNSE

Charlie


La construction modulaire, un marché en pleine expansion.

Le marché du modulaire connaît un succès grandissant, offrant de nombreuses opportunités dans le secteur des bâtiments. Grâce à son processus de construction révolutionnaire et ses nombreux avantages, il séduit de plus en plus de clients du BTP, de l’administration, des services et du secteur social. Après avoir enregistré en 2018 une hausse de 5% pour atteindre environ les 900 millions d’euros, ce marché devrait augmenter de 4% chaque année d’ici 2022.*

Avec plus de 8 300 unités fabriquées chaque année, le Groupe Solfab Constructions Modulaires (GSCM) est le 2ème acteur de la construction modulaire en France.

S’allier pour la croissance

En juillet 2018, Orfite a finalisé la recomposition du capital du Groupe, devenant ainsi l’actionnaire de référence aux côtés d’actionnaires historiques. Objectif : assurer une étape nouvelle dans le développement du deuxième fabricant national de constructions modulaires.

Un an et demi plus tard, en novembre 2019, GSCM prend une nouvelle dimension en faisant l’acquisition de CNSE, le leader français de la construction d’abris roulants pour le chantier, d’unités mobiles de décontamination et de solutions sanitaires pour l’événementiel. Intégrant cet acteur en croissance à deux chiffres, le Groupe approche les 70 M€ de chiffre d’affaires et conforte ainsi sa place d’interlocuteur privilégié auprès des loueurs, revendeurs, et prestataires. Cela permet également de consolider l’offre de solutions temporaires déjà présentes au sein du Groupe par l’apport des solutions mobiles conçues et développées par CNSE. Son usine, implantée à Taponas, au nord de Lyon, vient s’ajouter aux 4 sites de production GSCM déjà existants au travers des marques commerciales BODARD, SOLFAB et DECORTES.

Cette acquisition s’inscrit dans la droite lignée des valeurs d’Orfite : un rapprochement industriel réfléchi, au profit d’une croissance raisonnée et bénéfique pour tous.


Transmission de MANORGA | RAYONOR

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ManOrga | Rayonor, une belle ETI industrielle familiale de la région lilloise.

ManOrga | Rayonor est un spécialiste de l’aménagement des espaces de stockage pour tous les types d’activités (industrie et tertiaire). Cette ETI industrielle, fondée en 1971 par la famille Flipo, emploie 250 personnes et a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 60M€ en 2019. Elle dispose de deux sites industriels situés dans la région lilloise qui produisent chaque jour 12km de rayonnages et transforment quotidiennement 80t d’acier. L’entreprise vend ses produits uniquement à des distributeurs, dont Rayonor, société sœur qui dispose de 6 agences en France. Enfin, elle réalise une part significative de son chiffre d’affaires en Europe et plus particulièrement en Allemagne, au Benelux, dans les pays scandinaves et en Suisse.

Après trois décennies de gestion de la société par le trio des frères Flipo, les rênes du management ont progressivement été transmises à une nouvelle équipe, désormais bien en place et à même de poursuivre l’aventure familiale.

Une transmission mûrement réfléchie

Dans la lignée de cette première transmission managériale, les trois frères ont en effet décidé en 2019 de mener à bien la transmission du capital du groupe. Après l’étude de plusieurs typologies de solutions et une mûre réflexion sur les valeurs que la famille Flipo souhaitait pérenniser, le choix s’est porté sur Orfite, qu’ils savaient garante du modèle de développement de ManOrga|Rayonor, et respectueuse des valeurs et de l’indépendance de l’équipe de management. Ainsi, après un demi-siècle d’actionnariat familial, Orfite est devenue l’actionnaire de référence du Groupe aux côtés des managers qui profitent de l’occasion pour monter significativement au capital, ainsi que des frères Flipo qui demeurent actionnaires.

« Orfite devient un allié majoritaire, pour nous accompagner dans notre développement. Grâce à ce partenariat, ManOrga pérennise dès à présent son évolution pour la décennie à venir » commente Philippe Sadowski, Président de ManOrga.


SODICOB acquiert VERSO

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Sodicob, spécialiste de la fabrication de volets roulants, a été créé en 1989 par Jean-Philippe Dujarry qui en a été le dirigeant jusqu’en 2019. Situé dans les environs de Toulouse, Sodicob est un acteur régional du marché, réalisant de l’ordre de 70% de ses ventes dans le Sud-Ouest de la France.

Transmettre et croître

En 2003, Orfite a organisé une première transmission du capital de Sodicob, puis une seconde en 2008. Seize ans plus tard, en 2019, Jean-Philippe Dujarry, le dirigeant historique de l’entreprise, a décidé d’en transmettre les rênes afin de pouvoir se consacrer pleinement à la société sœur de Sodicob, Pso, devenue l’un des plus importants spécialistes indépendants français du profilage de lames aluminium pour volets roulants et portes de garage. Pso a connu une croissance dynamique depuis sa création en 2005 et ses enjeux futurs de développement nécessitent désormais l’investissement à plein temps de Jean-Philippe Dujarry.

Le marché de la fabrication de volets roulants aluminium est de plus en plus concurrentiel avec la création par croissance externe de grands groupes spécialistes et une internalisation marquée de la production des volets par les fabricants de fenêtres.

C’est dans ce contexte que s’est fait jour l’idée d’un rapprochement entre Sodicob et son petit concurrent toulousain Verso dirigé par Marc Faugeras, cette possibilité ayant ensuite prospéré d’autant plus facilement que les dirigeants des deux entreprises se connaissent et s’apprécient depuis de nombreuses années. De la complémentarité entre les deux entreprises, qui n’ont aucun client commun et se positionnent sur des segments de marché différents, a ainsi émergé un projet concret de rapprochement, doublé d’une opération de transition managériale.

Fin 2019, Sodicob a ainsi fait l’acquisition de Verso et Jean-Philippe Dujarry a cédé sa place de directeur général à Marc Faugeras, dans le cadre de la création d’un nouvel ensemble de près de 8 m€ de chiffre d’affaires, devant à terme permettre la mise en place de synergies industrielles et commerciales nécessaires au maintien de la compétitivité des deux acteurs. L’opération a également permis de réaliser la transmission du capital de Verso en assurant la liquidité des parts détenues par deux autres associés, co-fondateurs de la société en 2007 avec Marc Faugeras.


ORIMA

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En 2006, le propriétaire d’un petit groupe opérant à la fois dans la fabrication de lubrifiants et la distribution de produits pour le bâtiment, Orima, envisage sa retraite prochaine.

Le contexte

En 2006, le propriétaire d’un petit groupe opérant à la fois dans la fabrication de lubrifiants et la distribution de produits pour le bâtiment, Orima, envisage sa retraite prochaine. Ses enfants qui travaillent dans l’entreprise, Olivier et Frédéric Morihain, ne sont pas en mesure de racheter l’intégralité des parts de la holding familiale et leur père ne souhaite pas vendre l’entreprise à des concurrents ou à des fonds d’investissement. Comment garder dans la famille cette entreprise prospère ? Orfite offre une solution.

Témoignage d’Olivier Morihain

“Dans une entreprise familiale, on n’a de compte à rendre qu’à soi-même. Comment supporter les règles agressives d’un fonds d’investissement ? La réponse d’Orfite a été tout autre.”

En 2006, le propriétaire d’Orima envisage sa retraite prochaine. Ses enfants qui travaillent dans l’entreprise, Olivier et Frédéric Morihain, ne sont pas en mesure de racheter l’intégralité des parts de la holding familiale.

Dans une entreprise familiale, on n’a de compte à rendre qu’à soi-même. Comment supporter les règles agressives d’un fonds d’investissement ? La réponse d’Orfite a été tout autre. En rencontrant Orfite, j’ai rapidement compris à qui j’avais affaire – une entreprise qui place le chef d’entreprise au cœur de ses réflexions. Si l’occasion se présente et que le moment est opportun pour moi, j’investirai certainement chez Orfite. Orfite a une sensibilité pour le business et fait confiance à l’entreprise. Sans modèle figé, ce partenaire financier respecte l’industriel et ses valeurs. Nous avons eu le sentiment de travailler avec un partenaire de business, et non avec une structure financière prédatrice. Orfite possède la culture de l’entreprise familiale, c’est ce qui fait sa force. Le conseil de ses experts, notamment en matière de fiscalité, contribue largement à la valeur ajoutée d’Orfite. Je n’ai jamais entendu qui que ce soit dénigrer Orfite.

Orfite propose un montage financier capable d’assurer la pérennité de l’entreprise après le départ de M. Morihain père. Le cadre posé est simple et clair : Orfite prend une participation majoritaire au sein du groupe et, dans le cadre de la stratégie qui lui a été présentée et qui l’a convaincu, s’engage à ne pas intervenir dans le management de l’entreprise. Un rapport de confiance se crée dès le départ entre Orfite et les dirigeants d’Orima, qui se focalisent des deux côtés sur la réussite de ce dernier.

“En rencontrant Orfite, j’ai rapidement compris à qui j’avais affaire – une entreprise qui place le chef d’entreprise au cœur de ses réflexions.”

L’expérience Orfite

Les frères Morihain gardent donc les rênes de l’entreprise. Tous les deux ou trois mois, ils rencontrent l’équipe d’Orfite pour parler librement des nouveaux marchés, des clients potentiels, et aborder une vision plus globale des affaires.

Quelques années plus tard, Olivier et Frédéric Morihain décident de racheter les parts d’Orfite, qui accepte leur décision sans faire monter les enchères.

“Si l’occasion se présente et que le moment est opportun pour moi, j’investirai certainement chez Orfite.”

Transmission réussie

Pour les frères Morihain, la collaboration avec Orfite a été bénéfique à tous les niveaux. Au départ, ils ont pu continuer à développer leur entreprise sans assumer des risques financiers excessifs. Ils ont noué ensuite des liens avec les banques, dont ils ont éprouvé la confiance à l’égard d’Orfite. Socle de leur partenariat, la qualité des relations humaines entre les dirigeants d’Orima et l’équipe d’Orfite s’est maintenue après le départ de l’actionnaire de référence.


T2S

Charlie


La société T2S (Thiollier Sécurité Signalisation) a été créée en 1975 et dirigée pendant 10 ans par Pierre Bonnevialle.

Le contexte

La société T2S (Thiollier Sécurité Signalisation) a été créée en 1975 et est dirigée depuis par Pierre Bonnevialle. En 1985, il la rachète à l’industriel Thiollier, puis la fait remarquablement prospérer à un rythme de croissance de 12 % par an. En 1993 et bien qu’il n’y soit pas enclin, des raisons personnelles le conduisent à envisager de vendre ses parts, et il se met en quête d’un actionnaire de référence. Venant alors à faire la connaissance d’Orfite, il accepte le partenariat que ce dernier lui propose. Orfite, c’est le capital risque paisible à visage humain.

La société T2S (Thiollier Sécurité Signalisation) a été créée en 1975 et dirigée pendant 10 ans par Pierre Bonnevialle. En 1985 il la rachète à l’industriel Thiollier et se met en quête d’un Directeur Général cinq ans plus tard.

Témoignage de Pierre Bonnevialle

“Orfite, c’est le capital risque paisible à visage humain. À partir du moment où Orfite est devenu majoritaire, j’ai eu à cœur de ne pas décevoir mon actionnaire de référence. J’ai travaillé deux fois plus ! Orfite n’est pas là pour étriller la boutique, mais pour développer les outils et le capital humain. J’ai incité ma banque à entretenir de bonnes relations avec Orfite. La proximité humaine n’a pas de prix pour un chef d’entreprise. La force d’Orfite repose sur la souplesse de son organisation, dont l’équipe est réduite et constituée de spécialistes.Ce qui a marché avec Orfite, c’est qu’on parlait aux décideurs, pas à des cadres de banque anonymes. Les associés d’Orfite ont un esprit d’entrepreneurs, ils s’impliquent dans le développement de leurs participations. Sans faire d’enchères, Orfite rapporte aux investisseurs deux à trois fois leur mise. On fait la queue autour de la table ! Orfite, c’est la haute couture des private equity. J’ai apprécié à la fois la prudence financière d’Orfite, la qualité de ses engagements et sa capacité à réinvestir dans l’entreprise en cas de coup dur. L’approche fiscale d’Orfite a été déterminante pour moi. La discrétion d’Orfite est comparable à celle des notaires. A partir du moment où Orfite est devenu majoritaire, j’ai eu à cœur de ne pas décevoir mon actionnaire de référence. J’ai travaillé deux fois plus ! “

Orfite prend la majorité du capital de T2S en 1993. Intéressé par la réussite de cette entreprise, Orfite a auparavant étudié son marché afin de connaître parfaitement son environnement économique. À partir du moment où Orfite devient actionnaire de référence, une collaboration étroite s’engage avec Pierre Bonnevialle, qui apprécie d’emblée ce qu’il appelle un « capital risque à visage humain ».

Grâce à Orfite, Pierre Bonnevialle rompt avec la solitude du dirigeant et se voit soutenu dans ses décisions stratégiques. La présence d’Orfite contribue aussi à la structuration de l’entreprise. Sous son impulsion, le PDG de T2S recrute un directeur général et renforce l’encadrement de l’entreprise.

Deux ans avant l’échéance prévue, la dette senior est remboursée. Pierre Bonnevialle désire alors racheter les parts détenues par Orfite, qui respecte son souhait et ainsi la continuité de l’entreprise et son management.

“Orfite n’est pas là pour étriller la boutique, mais pour développer les outils et le capital humain.”

Transmission réussie

Alors que Pierre Bonnevialle pensait quitter T2S deux ou trois ans après son acquisition par Orfite, la collaboration avec l’actionnaire de référence a duré des années. Le modèle Orfite est si convaincant que le PDG de T2S le réplique en 2004, en devenant actionnaire majoritaire d’un petit concurrent, Chatard, dont il maintient l’équipe managériale.

Par ailleurs, confiant dans l’expertise et la rentabilité d’Orfite, Pierre Bonnevialle est devenu investisseur dès 1994.


Sister

Charlie


En 2011, Orfite entre au capital de SISTER en tant qu’actionnaire de référence. À l’écoute des dirigeants et de l’entreprise, l’équipe d’Orfite accompagne SISTER dans son développement.

Le contexte

Simon Demeillers a pris la tête du groupe SISTER en 2009. Basé à Nantes, région dans laquelle Orfite accompagne depuis longtemps des transmissions d’entreprises, il entend parler de ce spécialiste de la transmission d’entreprises, axé sur l’aide et la croissance des sociétés dans lesquelles il investit. Dans le contexte particulier des télécoms, un secteur en pleine concentration, Simon Demeillers décide de s’associer avec Orfite pour développer la croissance externe de SISTER.

“Dans le contexte particulier des télécoms, Orfite a été clairvoyant et fair-play : nos investisseurs se devaient d’être acquéreurs et vendeurs potentiels, ce qui est arrivé plus vite que prévu.”

En 2011, Orfite entre au capital de SISTER en tant qu’actionnaire de référence. A l’écoute des dirigeants du groupe et capable de s’adapter aux exigences de l’entreprise au sein d’un marché en rapide évolution, l’équipe d’Orfite accompagne SISTER dans son projet. Un projet en pleine mutation : les plans de croissance externe cèdent finalement la place à une forte croissance interne, soutenue par l’actionnaire de référence.

“Le partenariat avec un trinôme d’Orfite a été très efficace, chacun apportant ses compétences et sa vision spécifique.”

L’expérience Orfite

L’expérience de SISTER avec Orfite a été réussie. Selon ses dirigeants, les collaborateurs d’Orfite sont de véritables accompagnateurs, des conseillers, des observateurs, qui se gardent de toute intrusion dans le management. Leur clairvoyance dans le contexte fortement évolutif des télécoms a montré une fois de plus que pour eux, les hommes passent avant une approche très capitalistique de leur métier.

“Les hommes d’Orfite nous ont accompagnés dans nos décisions, montrant une fois de plus que pour eux, les hommes passent avant une approche très capitalistique de leur métier.”

Transmission réussie

Approché par le groupe CIRCET, le dirigeant de SISTER décide de céder son entreprise, seulement 3 ans après l’entrée d’Orfite au capital. Après avoir contribué à faire de SISTER une pépite convoitée par un grand groupe, Orfite accepte la décision de Simon Demeillers et vend ses parts. Une fois de plus, Orfite est fidèle à son ADN : respecter le timing propre à chaque industriel, en cherchant une solution optimale pour les dirigeants, les investisseurs et la société concernée.