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Un co-leader du marché français de sa spécialité

Etiq’étal est spécialisée dans la fabrication d’articles de signalétique à destination du commerce alimentaire (étiquettes « pique-prix », etc.) et des cafés-hôtels-restaurants (protège-menus, stop-trottoirs, etc.). Avec un chiffre d’affaires de 3,5m€ en 2021, elle est l’un des deux français leaders de ces niches de marché, à la fois matures et résilientes. L’entreprise a bien traversé la crise sanitaire et s’est inscrite dans une bonne dynamique de développement et de rentabilisation de ses activités au cours de ces dernières années.

Une diversification de ses activités en cours

Etiq’étal est par ailleurs engagée dans un processus de diversification, avec l’ouverture récente d’une place de marché (« etal-shop.com », orientée vers la fourniture d’équipements et d’accessoires pour le commerce alimentaire indépendant), et le développement d’un nouveau métier dans le domaine de la signalétique magasin, consistant dans la fabrication de panneaux fixés ou suspendus aux grands distributeurs pour l’information des consommateurs.

Une transmission dans la continuité

La solution de transmission choisie s’inscrit ainsi dans un contexte de continuité, favorable à la stabilité de l’entreprise et à la conduite sereine de sa stratégie de développement.

Une offre sur-mesure alternative aux géants du secteur

Créé en 1945, le groupe intervient sur l’ensemble de la chaîne de valeur logistique, en se concentrant sur des niches à forte valeur ajoutée associant ses différents métiers : le transport routier, la logistique, le commissionnement de transport, l’emballage industriel et le transfert industriel technologique. Avec plus de 700 collaborateurs et un chiffre d’affaires de 85m€ réalisé auprès de 3 000 clients de tous secteurs, l’entreprise cultive son positionnement d’agilité, de sur-mesure et de qualité de service pour se différencier face aux mastodontes du secteur.

Assurer la pérennité de l’entreprise

Cette opération de transmission capitalistique et managériale permet de consolider l’avenir du groupe, qui n’identifiait pas de solution possible de transmission intra-familiale. Et ce, en garantissant au mieux la continuité de ses savoir-faire et de ses valeurs autour des forces vives de l’entreprise. Avec le soutien d’Orfite, l’équipe de management se donne pour objectif de focaliser son développement autour des enjeux particulièrement porteurs de la logistique, en construisant une ETI française performante, alternative aux géants mondiaux dans un contexte de forte concentration du secteur.

GSCM sur le podium des leaders français du marché de la construction modulaire

Entré au capital du Groupe GSCM en 2018 dans le cadre d’une opération de transmission après le départ de son fondateur, Orfite a poursuivi une double ambition avec le Directeur Général, Philippe Fauquette : accompagner le management pour faire d’une fédération de PME un groupe structuré, après les acquisitions de Decortes et de Bodard, et l’inscrire résolument sur le chemin de la croissance. Orfite a ainsi accompagné l’accélération du développement organique du groupe ainsi que sa stratégie de croissance externe. L’acquisition en novembre 2019 de CNSE, leader français des abris roulants, a constitué une étape clé avec une intégration économique et industrielle réussie, permettant à GSCM d’asseoir sa position de numéro 2 du marché de la construction modulaire en France. Une trajectoire enviable pour cette entreprise qui a, depuis sa reprise, concrétisé l’acquisition de Daudin, spécialiste de la fabrication de bases vies mobiles, et renforcé ses positions dans le bâtiment modulaire de réemploi, avec l’acquisition de Deltamod, deux acquisitions préparées en amont de la cession par la direction de GSCM avec l’aide d’Orfite.

La première fois que j’ai investi aux côtés d’Orfite, l’entreprise cible a connu des difficultés. Dans cette situation compliquée, Orfite a été fidèle à ses principes : réinvestir au lieu de passer par le tribunal de commerce, aider le management à reprendre les rênes et jouer son rôle de financier dans une perspective à long terme. Loin de me dissuader d’investir à nouveau, cette première affaire m’a convaincu de participer à une quinzaine d’autres investissements. Orfite a une approche respectueuse à tous les niveaux : du côté des managers, et aussi du côté des investisseurs, qui sont partie prenante du projet.

J’ai investi aux côtés d’Orfite dès leur première affaire. Depuis cette époque, mon intérêt pour Orfite et mes investissements n’ont pas cessé. J’apprécie le mode de fonctionnement de cette entreprise, qui permet aux dirigeants de ses participations de rester maîtres à bord. Le système Orfite est très humain, et les relations d’Orfite avec ses investisseurs sont amicales, réactives et claires. Côté rentabilité, on en voit rapidement les résultats !

Le partenariat avec Orfite est très professionnel et très agréable : ce sont des gens de parole, très transparents, qui présentent des dossiers très bien étudiés et très précis. Ils ont des réponses à toutes nos questions… et leur track record parle de lui-même ! Ils s’intéressent à des secteurs d’entreprise très divers, mais sont aussi capables de capitaliser sur la connaissance approfondie d’un secteur, ce qui les amène à refaire des opérations avec une même entreprise. Leur stratégie d’industriels les différencie complètement des fonds d’investissement. Ils soutiennent, accompagnent et apportent des fonds en cours de route à l’entreprise dans laquelle ils sont majoritaires. Ils sont assez uniques dans leur genre !

Notre partenariat avec Orfite remonte à une trentaine d’années. Nous suivons leurs projets avec intérêt, il faut dire qu’Orfite ne présente que des dossiers étudiés avec attention, toujours d’une grande précision, et surtout complètement aboutis au moment où ils nous sont présentés. C’est là qu’Orfite sort du lot ! Comme nous (et contrairement à de nombreux investisseurs qui nous sollicitent), Orfite n’est pas dans une vision court-termiste. Ils savent qu’il faut beaucoup travailler en amont du projet, qu’une transmission d’entreprise peut prendre du temps, et ils sont capables de se projeter dans l’avenir. Or il n’y a pas de meilleur investissement que quand l’avenir est bien pensé !

Jacques de Vasselot, 67 ans, est à la tête de JVD, une entreprise très performante qu’il a créée en 1984. 25 millions de chiffre d’affaires, 3 filiales à l’international et une croissance de 13% par an qui n’a pas faibli depuis 10 ans. En 2016, il décide de céder son entreprise mais ne souhaite pas vendre JVD à un groupe ou à un fonds d’investissement trop éloigné de ses attentes. Alors qu’une première discussion est ouverte avec l’équipe d’Orfite, d’autres investisseurs sont appelés à entrer en compétition.

Orfite décide alors de se mettre en retrait des discussions pour ne pas entrer dans un système d’enchères. Un accès aux patrons des filiales de l’entreprise lui est néanmoins donné, et ceux-ci préfèrent sa candidature. L’implication d’Orfite aux côtés des dirigeants, son adhésion réelle aux projets des industriels ont convaincu le management. Le processus concurrentiel est interrompu, Orfite est rappelé par les dirigeants pour devenir l’actionnaire de référence de l’entreprise.

Le projet commun est mis sur pied en moins de deux mois, Orfite monte l’opération, trouve à Jacques de Vasselot un successeur capable de lui succéder, puis décide de faire monter au capital un certain nombre de salariés. Selon les termes du dirigeant, c’est visiblement « l’ADN » d’Orfite qui a permis de faire la différence.